Notes sur les textes

 

Les quelque sept cent quatre-vingt-douze textes rassemblés dans cet ouvrage sont pour la plupart très brefs. Les textes plus longs sont soit des conversations enregistrées au magnétophone, soit des comptes rendus établis sur la base de notes prises par les disciples et dont la Mère a approuvé plus tard la publication. Environ 40% des textes ont été écrits ou énoncés en français, le reste en anglais. Le lecteur trouvera ci-dessous d'autres précisions sur ces textes et leur langue originale.

 

Écrits, conversations et comptes rendus

 

Écrits : la plupart de ces écrits sont soit des extraits de la correspondance de la Mère avec les disciples et d'autres personnes, soit des messages ou des notes personnelles. Ces sept cent trente et un écrits représentent la presque totalité des textes figurant dans ce livre. Quatre cent quarante-six ont été rédigés en anglais, deux cent quatre-vingt-quatre en français.

 

Conversations enregistrées au magnétophone : ces vingt-six entretiens ont eu lieu en français, à l'exception des cinq premiers paragraphes de l'entretien du 30 mars 1972 (dans la section sur Auroville) et de quelques mots et phrases en anglais au cours d'autres conversations avec les Auroviliens.

 

Comptes rendus approuvés par la Mère : ce livre contient trente-sept comptes rendus de conversations ou d'observations de la Mère reconstituées de mémoire par les disciples ; la Mère, après lecture, en a approuvé la publication. Douze d'entre eux sont en français et vingt-cinq en anglais. Parce qu'ils ne transcrivent pas mot pour mot ses paroles, ces comptes rendus ont été identifiés par le signe à la fin de chaque texte. Les comptes rendus non revus par la Mère n'ont pas été inclus dans ce livre.

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Texte original en français ou en anglais

 

La langue originale a pu être établie pour la plupart des textes, mais non pour tous. C'est le cas, en particulier, de ceux dont le manuscrit n'a pas été retrouvé ; on ne dispose alors que d'une version dactylographiée ou imprimée dont il n'a pas été possible d'établir la langue d'origine avec une certitude absolue. Même dans ces cas, il est fort probable, sinon certain, que la langue originale était le français.

Les textes dont la langue originale n'a pas pu être établie avec certitude ont été traités comme suit : lorsqu'un texte n'existe qu'en un seul exemplaire français, on a présumé que l'original était en français. Lorsque le seul exemplaire existant est en anglais, on a présumé que l'original était en anglais. Lorsque l'on dispose de deux versions, française et anglaise, et qu'on ne peut déterminer quel est l'original, on a présumé que l'original était en français, à l'exception de quelques messages adressés à des fonctionnaires du Gouvernement indien, qui ont certainement été rédigés en anglais. Si, au cours de recherches ultérieures, amenant par exemple à la découverte d'un manuscrit, certaines de ces conclusions s'avéraient erronées, l'erreur serait corrigée dans la prochaine édition.

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